jeudi 23 juillet 2020

Un dur un vrai, un tatoué !


J'aime toujours pas les tatouages. Si t'es tatoué et que t'es pas un bagnard ou un pirate, c'est ridicule. 
Quelques exceptions trouvent grâce à mes yeux d'esthète (de lard): les très beaux tatouages japonais, mais la plupart du temps, c'est une catastrophe picturale. 
Cette mode est bien représentative de cette époque de merde. 
Bien sûr, chacun fait ce qu'il veut de sa peau mais cette frénésie du tatoo me fait de la peine quand je vois une jolie fille avec un Pikachu sur la cuisse. 
Par contre, les blaireaux bedonnants aux tatouages Maoris me font toujours rire.


2 commentaires:

Michel Loiseau a dit…

Bonjour,
Je ne suis pas très amateur de tatouage non plus. Je ne suis pas tatoué (je suis juste tamoué (mes excuses, c'est compulsif)). Faut dire que je suis un tantinet douillet et, aussi, surtout, que je n'ai jamais eu une idée à mes yeux valable de tatouage à me faire dessiner dans la peau. Bon.
Sinon, j'ai aussi été un peu trop marqué, adolescent, par l'exhibition accompagnée d'explications sensibles d'un tatouage réalisé à Auchwitz. La déjà vieille (à mes yeux) dame qui intervenait au collège m'a peut-être à son insu fait comprendre que les tatouages pouvaient représenter bien autre chose que l'expression de fantasmes ou de "petits délires" amusants.
Ceci dit, l'anecdote (vraie ou faussse ?) de ce condamné à mort qui aurait fait tatouer une ligne pointillée autour du cou avec pour mention : "couper en suivant la ligne pointillée" m'amuse bien. Et pourtant, je suis opposé à la peine de mort. Faut dire que je ne suis pas certain d'être à ce point exemplaire que je pourrais y couper le cas échéant.
Mes amitiés à Mr Popo.

Vrrrrrr! a dit…

C'est vrai que le tatouage commence à dater presque autant que le dernier article de ce blogue.
Qui t'aime te suis (et non pas qui t'aime t'essuie, coquin!!!)