Quelquefois, je ne suis pas là. Je ne sais pas si c'est commun aux communs des mortels, vu que je n'ai l'expérience que de moi, mais j'imagine que nous avons tous ces moments d'absences. On se retrouve soudain prisonnier d'une discussion dont le sens nous échappe, un simple hochement de tête faussement attentif permet de donner le change, mais si on sent qu'on va se faire poisser, le mieux, c'est encore de s'évanouir.
C'est ce que faisaient les belles dames du temps jadis quand un soupirant devenait pénible. Hop ! un petit coup de pâmoison et le tour était joué.
Dommage que cette pratique de l'évanouissement se soit perdue, ça m'aurait amusé de tomber en pâmoison...Bon, d'accord, rien ne m'en empêche, mais je ne suis pas certain qu'il y aurait quelqu'un pour me rattraper !
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