mercredi 27 novembre 2013

interlude


Non, non ! rien a changé tout tout a continué ...
(Les Poppys 1971)
Et toi non plus, tu n'as pas changé...
(Julio Iglésias 1979)

samedi 9 novembre 2013

La reprise est pour bientôt


Je peux vous le dire, maintenant que c'est Conrad qui a repris Axtérisque et péril : C'est moi qui vais continuer les aventures de Rintintin et Milou !


De temps en temps, je me fais un petit Tintin sur un coin de page, ça détend, si jamais Fanny voit ça, elle va vouloir m'épouseter. Il n'y a rien d'officiel encore, mais avec la vitesse d'Internet, je pense que je suis bien placé pour être bientôt le parasite d'Hergé. Il suffit que j'arrive à faire le nez de Mr POPO un tout petit peu moins gros et c'est bon !


mardi 15 octobre 2013

aynieuté zédes céacheu

 Aujourd'hui, c'est l'anniversaire de Friedrich.
personne ne s'en serait aperçu, à part quelques intellectuels germanophiles, si Mr Google n'avait pas mis la bobine de Nietzsche dans son logo, pour faire croire qu'il lit de la philosophie.
On peut aussi appeler une voiture Picasso, ça n'en fait pas un chef d'œuvre, mais ça donne à l'homo-tomobiliste le sentiment d'avoir de la culture.
Personnellement, je lisais Nietzsche quand j'étais petit, à l'époque où je voulais être un surhomme, surtout parce que je croyais qu'il avait aussi parlé du Kamasutra ! 
Aujourd'hui, j'ai plutôt tendance à me méfier des penseurs morts et des philosophes vivants. 
Par exemple, au hasard Finkielkraut, qui a aussi un nom à coucher dehors, à force de happenings médiatiques déguisé en prophète de l'apocalypse comme Philipulus  dans Tintin, il m'est devenu sympathique. Je suis sûr que quand il sera mort, Mr Google fera semblant de l'avoir lu aussi.
L'avantage du philosophe mort sur le Finkielkraut vivant, c'est qu'il y en a un des deux qui ne va pas dire des conneries à la radio.



La photo du jour : Friedrich Nietzsche qui nous chante "la tactique du gendarme"( sans la barbe, il a des faux airs de Bourvil, non ? )

jeudi 10 octobre 2013

Cot cot cot...


Hier, j'écrivais que je ne me tenais pas informé, essayant d'adopter le style simple et décontracté d'un anachorète des plaines, afin d'éviter au maximum de m'inquiéter pour des bateaux qui coulent, des trains qui déraillent ou des centrales qui fuient, ou toutes ces choses qui font que le monde est si divertissant et contre lesquelles, n'ayant pas pris régulièrement mon bol de Kryptonite, je ne peux pas grand chose.
Elle est pas un peu longue, cette phrase, pour un anachorète ?
La simplicité, c'est toujours compliqué.
Je serais bien gyrovague, ( un moine ermite, errant et mendiant ), mais anachorète, je trouve que ça sonne mieux et puis ça m'évite de marcher et d'avoir à être sympathique ou attendrissant ou casse couilles. 
Si tu es mendiant et que tu n'es pas sympathique,attendrissant ou casse couilles, tu peux toujours courir pour ton obole ( ton obole de riz si tu es mendiant en Chine ).

Pendant que je méditais, dans la solitude et le recueillement, je me suis rendu compte que j'entendais des voix. 
J'ai crains un moment qu'elles ne m'intiment l'ordre d'aller bouter les Anglois hors de France, ce qui aurait été embêtant, vu que je suis un anachorète qui vit en couple avec un sujet de sa Gracieuse Majesté, mais en fait, c'était la radio.

Bon sang, je capte les ondes radio !

Saperlipopette ! me suis-je écrié, car pour être anachorète, je n'en suis pas moins anachronique, c'était donc ça, cette sourde rumeur du monde qui me parvient parfois sans crier gare ?!

Oui, je ne sais pas comment ça se fait, mais j'arrive toujours à capter des trucs, même en ayant le sentiment de ne pas essayer.
C'est comme ça que j'ai entendu qu'un député, ça caquette.
Je ne savais pas trop ce que ça faisait, je sais que la chouette ulule, que le dindon glougloute, que la fauvette zinzinule, mais le député, je ne savais pas trop.

Ce qu'il y a de bien, avec avec un con de droite, c'est que tu n'es jamais déçu ! 
( avec un con de gauche non plus, du reste )


La photo du jour : l'Assemblée Nationale, bien sûr ! 
Pour la parité, on repassera, il y a plus de coq-boys et d'indiens que de poulettes là-dedans ! D'un autre côté, un mec avec des plumes...

mercredi 9 octobre 2013

Amer savoir...


Je ne sais pas comment vous faites, moi, je n'y arrive plus. 
Les choses de la vie me les brisent menu ! Et je ne sais pas trop avec quoi accorder "menu". 
Je suis en pleine catharsis autistique.
Ne plus rien voir, ne plus rien entendre, surtout ne plus rien entendre !
Être surpris par la catastrophe c'est toujours mieux que de l'anticiper en permanence, je trouve.
Donc, je continue à ne plus rien écouter de préoccupant, de toute façon, les médias sont  
de petites usines qui fonctionnent en autarcie, invitant des invités professionnels, nous gavant d'humoristes patentés et auto-proclamés, alors à quoi bon ?
Les humoristes, ça poussent plus vite que les champignons ces derniers temps. Je ne sais pas qui ils font rire, parce que je les trouvent plus pathétiques les uns que les autres.
"Humoriste" ! Quand j'entends ce mots, je sors mon révolver !
Tirons à vue et à oreille sur cette engeance pitoyable qui déshonore même le clown le plus triste du plus petit cirque ambulant de la province la plus reculée, ( pas loin de chez moi, quoi ! )
Pourtant, c'est facile d'être rigolo, j'ai entendu sur France Cul, qu'une loi Italienne punit sévèrement les capitaines de bateaux qui repêchent des migrants en train de se noyer. Ils sont considérés comme importateurs illégaux de migrateurs ou un truc dans le genre. Ils peuvent se prendre 2 ans de prisons et se faire confisquer leur petit navire !
Ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah !!!!

Je vais aller me replonger dans l'œuvre de Cioran, ça va me remonter le moral !


La photo du jour : presse agrumes 


mardi 8 octobre 2013

C'est pas de la réclame, c'est de l'information !


C'est un petit dessin de carnet qui se superpose aux lettres S.E.B de la Société d'Emboutissage de Bourgogne. La marque SEB, ça veut dire ça !
C'est le genre de truc que je note parce que c'est mieux pour briller en société que de citer du Schopenhauer.
Ça n'a rien à voir, mais Seb Cazes est un dessinateur qui habite dans le Gers et qui est entre autre le gars qui fait les affiches superbes pour CIRCA. J'aime bien aussi ses bandes dessinées, comme "Le dresseur de chevreuils ambidextres" et là, il prépare un livre qui sera un carnet de voyage en Croatie. J'ai vu qu'on pouvait participer au financement pour que le livre soit encore plus beau que beau, sur le site Ulule. 

Comme ça, vous ne pourrez pas dire que je ne fais pas le maximum pour que vous dépensiez vos euros intelligemment !

Tous les détails sont là : UPOMOC



lundi 7 octobre 2013

La nature est un temple où de vivants piliers laissent parfois sortir de confuses paroles


Ça se dit pas "mimétique" ?
Ben, nous les poètes, on le dit ! 
Par poètes, je veux bien sûr parler de Franck Ribéry et moi. On a une licence poétique, ce qui fait qu'on est pas obligés d'aller regarder dans le dictionnaire chaque fois qu'on dit une connerie.
Pour vendre de l'alcool, il faut une licence IV, pour dire des conneries il suffit d'avoir une licence poétique, comme Baudelaire !
C'est super pratique.
Mais en fait, je crois que c'est du bien comme il faut dire, "mimétique", je n'ai pas besoin d'utiliser ma licence poétique pour ça, il vaut mieux que je la garde pour quand Franck va parler.

Dites, vous n'entendez pas comme de longs échos qui de loin se confondent dans une ténébreuse et profonde unité ?



La photo du jour : Franck Ribéry en cow-boy

vendredi 4 octobre 2013

Hard Time Killin' Floor Blues



Le sens de la vie et ses frères...
Hard time killin' floor blues par Skip James. 

Celui-là, c'est peut-être bien mon morceau de blues préféré, si cette musique ne vous donne pas envie d'être noir et pauvre, c'est que vous ne comprendrez jamais rien au sens de la vie.

jeudi 3 octobre 2013

Révélations sur le sens de la vie


Il ne faut pas vous en faire pour les titres des articles, c'est effectivement n'importe quoi. 
D'un autre côté, c'est du n'importe quoi que naît souvent le sens profond des choses et parfois certaines personnes aussi.
Combien d'humains nés du n'importe quoi continuent de perpétuer l'œuvre originelle avec constance et acharnement.
J'aurais aussi bien pu titrer "Secrets pour augmenter la taille du pénis" ou " le mal de dos un fléau Français", mais je crois que "révélations sur le sens de la vie" est plus accrocheur.
Le but étant bien sûr de trouver le moyen d'attirer des lecteurs, des twitters, des face-bookers.
Bon, maintenant que vous êtes là, il faut impérativement que je révèle des trucs sur le sens de la vie...
Heu... Dés demain, je commence les révélations !


La photo du jour : quelquefois le mystère reste entier.



mardi 1 octobre 2013

Pourquoi tant d'amour ?



Il y a deux sortes de lecteurs, ceux pour qui je suis une entité abstraite, et ceux pour qui je suis une réalité tangible. Tous réunis, ça ne représente pas une foule immense, vu que nous évoquons ici les lecteurs d'un blog confidentiel d'une haute tenue morale, destiné à une élite intellectuelle et que d'autre part, je ne suis pas facile à attraper.

Pour ceux qui ne feraient pas partie de l'élite et qui seraient arrivés là en cherchant des nouilles ou le blog de Boulet, "tangible" ça veut dire "qu'on peut toucher". 

 Autant l'avouer, pendant longtemps, j'ai trouvé ça carrément dégoutant. 

Je ne voyais pas pourquoi des gens, même bien intentionnés, se permettaient de mettre en contact des morceaux d'eux même avec mon corps d'albâtre aux reflets ambrés, gracieux comme un pâtre antique à la peau salée par les embruns. 
Même une poignée de main a quelque chose de répugnant quant on songe à la quantité d'endroits plus ou moins propres où peuvent trainer des doigts.

Mais c'est surtout contre cette curieuse pratique du bisou sur la joue que je me suis longtemps opposé.
Le petit Marcel s'est longtemps couché de bonne heure, moi, longtemps je me suis opposé, chacun son truc.
 Je suis allé jusqu'à tenter de repousser les plus audacieuses avances par une barbe de trois jours imprégnée de curare, mais rien n'y fait. La moindre inconnue qu'on me présente pense qu'il est nécessaire de manifester une affection à mon endroit disproportionnée avec notre relation naissante en me gratifiant soit d'un bisou mouillé, soit d'un simulacre d'embrassade ( de Pologne à Paris ), dont l'indifférence humiliante n'échappe à personne.

Déposer un chaste baisé sur la joue d'une péronnelle qui vient d'arriver dans un endroit situé quelque part où je me trouve, si j'ai la chance d'être en pole position, à la rigueur, je peux me laisser tenter. 
Il en existe quelques unes à travers le monde pour qui j'ai une réelle affection, mais voir arriver vers moi la même créature après qu'elle ait été souillée par l'haleine douteuse et les sécrétions labiales de la moitié de l'équipe de rugby, me pose tout de même un problème d'hygiène élémentaire.
Je n'arrive pas à m'ôter de l'idée que je ne serais jamais allé de mon plein gré poser mes lèvres finement ourlées de pâtre antique ( à la peau salée par les embruns), sur celles de ces fiers gaillards gavés de gras de canard et d'Armagnac.
Or, d'un point de vue bactérien, c'est ce qu'il est en train d'arriver lorsque se présente la joue encore humide de la pauvre hère contrainte par les conventions collectives de la société du simulacre à subir ce marathon salivaire.
Il faut voir dans cette évocation de l'équipe de rugby, une métaphore de toute réunion de plus de deux personnes, car  vous imaginez bien que je ne fréquente pas d'animaux d'élevages.
Il m'est arrivé à maintes reprises de tendre une main qui se voulait ferme et décidée vers gentes dames et damoiseaux, dans l'espoir de leur signifier qu'une poignée de main virile comblerait tout à fait mes attentes affectives et leur épargnerait ce contact douteux avec mon maxillaire hirsute, mais force est de constater que ce geste plein de prévenance passe pour une muflerie autistique.

Je me suis un temps amusé à dire : " Non merci, sans façon, je n'embrasse pas." 
Ce qui est idéal pour passer pour un débile mental.

Ou encore :  " excusez-moi, par souci d'hygiène et dans le but de préserver la fraîcheur et le taux hygrométrique de votre épiderme, je vous propose de remettre cette effusion à plus tard. Peut-être, dans un futur que je souhaite proche, lorsque notre relation aura pris un caractère plus personnel, pourrons nous avec sincérité nous lancer dans d'affectueuses étreintes. Pour l'heure, il me semble qu'une simple accolade est plus convenable."

Sincèrement, je ne vous le conseille pas.

Après d'infructueuses stratégies d'évitement, il m'est apparu plus simple d'accepter cette coutume primitive et de me laver les joues régulièrement.


La photo du jour : L'Évangile selon ma main dans ta gueule



lundi 30 septembre 2013

Albert Jacquard : aussi con qu'un panda


Loin de moi l'intention de dire du mal d'Albert Jacquard qui vient de mourir, c'est typiquement le genre d'homme dont on doit faire comme si on l'aimait bien.
Non, en plus, sincèrement, il n'y a rien à lui reprocher, à part peut être de s'être fait un look de nain de jardin, et de nous avoir asséné pendant des années son prêchi-prêcha humaniste sur France Culture.
 Un homme qui est contre la pédophilie, le mal logement, la guerre, le nucléaire et les corridas… même si c'est un peu louche, on ne peut pas trop lui en vouloir.

Alors pourquoi Albert Jacquard : con comme un panda ?
Et pourquoi cet acharnement contre les pandas ?

C'est juste parce que j'ai de la suite dans les idées et que j'aime toujours plus les filles que les nains de jardins. 
( Je ne sais pas ce que j'ai, il y a quelques temps, j'adorais la choucroute et maintenant c'est les filles ! ) 
Je ne trouve pas que la choucroute c'est plus intelligent que les garçons, il ne faut pas exagérer, mais entre une bonne choucroute et Albert Jacquard, je n'hésite pas une seconde.

Bon, alors le concept de con comme un panda.

C'est simple, Albert Jacquard, c'est aussi mignon qu'un panda, et en plus il était en couleurs.
Gentil, sympa avec les pauvres, ( pourtant c'est chiant un pauvre ), toujours prêt à défendre l'environnement, à vouloir parler l'espéranto pour qu'on puisse tous être une chouette bande de copains… Je ne sais pas s'il aimait les pousses de bambous, Albert, mais ça ne me surprendrait pas.

Albert Jacquard, deux point : un grand humaniste

Ah ouais, ben là, tu ne peux plus rien dire, mec !
C'est la classe. 
C'est sûr qu'on ne verra jamais écrit à mon propos Isaac Wens : un grand humaniste.
Contre un grand humaniste, on ne peut pas lutter, même en crachant très haut, tu te prends ta bave de crapaud sur la gueule et c'est bien fait.

N'allez pas croire que je n'aimais pas Albert Jacquard !

La blanche colombe elle, elle peut radoter dans la guimauve des poncifs bien pensants, une philosophie de prisunic, une fois que les médias l'ont choisi comme icône humaniste, elle l'a dans le baba, elle l'a dans le bobo, elle cause partout, mais elle n'est plus audible.

La voix des pandas, c'est comme une musique d'ascenseur, comme un ronronnement, on est pas emmerdé avec les pandas, au pire ils te laissent quelques poils collés au micro, c'est pas bien grave. 
Il y en a qui les collectionnent à radio France. Des poils d'Albert Jacquard, des poils d'Hubert Reeves…Ceux de l'abbé Pierre, sont déjà collectors.

Albert, tu étais un brave homme, et c'est une honte qu'un imbécile dans mon genre te compare à un panda. Hélas, l'homme n'est pas bon et ton "petit d'homme" est un sale petit con égoïste, mais là où tu avais raison, c'est que l'amour est un bouquet de violettes et ça, c'est quand même un message d'espoir.

( Ici une figure de style des plus crétines, c'est le gars qui s'adresse à un mort, comme s'il y avait un au-delà duquel le cher disparu n'aurait rien d'autre à foutre que de le lire. ) 


L'image du jour : C'est la couverture du petit livre de Caza, qui publie les post'its qu'il s'est collé sur le front tous les matins de février à mai 2011 au petit-déjeuner.
Un exercice de style au crayon et au stylo rouge, qui donne un joli petit ouvrage qui ravira les amateurs de dessins. ( Je pourrais écrire des critiques de BD dans Bo-Doï sans problème avec des formules aussi passe partout  ! )


Le gag du Mr POPO d'aujourd'hui, je l'ai volé à Caza pour bien illustrer que l'homme n'est pas bon et qu'il faut se méfier de tout le monde, mais en fait ça ne marche pas parce que je suis sûr que Caza va me pardonner !






vendredi 27 septembre 2013

À la vanille




Les gars au chocolat, c'est con comme des voitures à bras, alors que les filles, ah ! les filles ! 
Les filles sont merveilleuses, regardez Angela Merkel, par exemple…
Je crois que je suis devenu complètement homme o'phobe, ou filleophile, ou n'importe quel néo-illogisme bricolé pour ne pas employer le mot féministe. Parce qu'un homme qui se dit féministe, ça a toujours l'air un peu louche.
C'est tellement plus facile d'être féministe quand tu n'es pas une femme. C'est comme pour être romanichel, il ne suffit pas d'avoir une caravane.

Je ne suis qu'à moitié misanthrope puisque j'aime les filles !
Mais attention, j'aime toutes les filles, sans restriction de genre, les grandes, les petites, les grosses les maigres, les belles, les moches, toutes je vous dis !
Bien sur, je ne suis pas idiot au point de ne pas me rendre compte qu'il y a des filles presqu'aussi connes que leurs maris, je ne suis pas aveugle.
C'est un peu comme les pandas, les pandas c'est super mignon, mais il y en a quand même qui sont des gros cons.

Chaque fois que j'affirme que les femmes sont plus intelligentes que les hommes, j'ai toujours des types qui veulent absolument me démontrer, preuves à l'appui, que je me trompe, qu'il y a des filles largement aussi connes que des pandas. Alors que si je tiens les mêmes propos avec des femmes, elles sont en générale toutes d'accord avec moi.
c'est bien la preuve qu'elles sont plus intelligentes !

En réalité, je crois que je préfère la bêtise des filles à celles des garçons, tout simplement. 
Peut-être qu'au fond, je suis une femme.

c'est possible, parce que ça ne m'aurait pas dérangé d'être une fille, en tous cas moins que d'être un con de panda et de passer mon temps à grignoter des bambous en ayant l'air gentil.
C'est pas pour m'acharner sur eux, mais franchement, sauver les pandas y en a marre, cette espèce de gros nounours à la noix, s'il était vert et visqueux au lieu de ressembler à une peluche, personne n'en aurait rien à foutre.

Qu'ils crèvent, les pandas ! Occupons nous des filles.

Les filles sont mieux que nous, elles courent moins vite, elles pissent moins loin, rien que pour ça, je les aime.
Et puis, il n'y a pas de femmes papes ou popes, ou à l'origine d'une religion qui oblige les hommes à porter une bâche sur la tronche et à filer droit vers la cuisine pour faire la vaisselle.

Si seulement elles arrivaient à comprendre qu'il faut élever leurs petits garçons comme des petites filles au lieu d'en faire des pandas, elles seraient les maîtresses du monde et les hommes seraient des femmes comme les autres.


La photo du jour : France Gall

jeudi 26 septembre 2013

Régulier dans la défaite



La journée du vieux con ( ben quoi, il y a bien la journée des voisins ! )

C'est curieux, c'est la première fois depuis des années que je n'arrive pas à rentrer.
J'ai bien accompagné ma fille à l'école, remis des trucs sur le blog, commandé le bois pour l'hiver… Mais je ne rentre pas !
Je crois que je vais rester dehors, cette année.
En dehors du monde réel ou soi disant tel comme disait le cher Fred.
Je ne sais pas si c'est l'âge ou quoi, mais j'ai l'impression qu'on me passe tout le temps le même film d'actualité.
Je suis certain que ça vous fait ça aussi, mais il faut vous y faire, ça sera comme ça jusqu'à la guerre.
La guerre civile ou la guerre mondiale, la guerre avec les fanatiques de dieux hypothétiques, la guerre économique à la mords moi le nœud : la vie quoi !
Par ici, on a oublié, parce qu'on a la mémémoire courte, mais les hommes n'ont jamais trouvé d'autres solutions à leurs problèmes qu'une bonne boucherie de temps en temps.
Que des avantages : réduction du taux de chômage, reprise de l'activité dans le bâtiment, émulation de tous les cerveaux disponibles de la nation pour inventer des trucs qui font des trous toujours plus gros et ensuite les retombées économiques des applications civiles de ces nouveautés technologiques… Bien sûr, il y a aussi les retombées radioactives, mais de ce côté là, on est pas à l'abri en temps de paix non plus.
Sans parler des héros. Là, on est arrivé au bout de notre génération de héros de la résistance. Y en a presque plus !
Les grands hommes, ça ne se trouve pas sous le sabot d'un cheval à bascule !
À la hussarde, ça se fabrique, les grands hommes !
Sinon, on est condamné à vivre en paix avec François Hollande et Alain Juppé, avoir des BHL comme phare de la pensée et écouter du rap !




La photo du jour : Un indien vaut mieux que deux tu l'auras



Une bonne nouvelle Galaktoboureko, l'album d'Ödland est financé à 108 % !



mercredi 18 septembre 2013

Dis moi de quoi tu as peur


A part des bijoutiers, moi, je n'ai peur d'aucun animal en particulier s'il n'est pas armé ou affamé.
Des bijoutiers affamés, il n'y en a pas tellement, mais ça ne les empêche pas d'être chasseurs. La chasse, je ne suis ni pour ni contre, parce qu'autour de chez moi, c'est plein de bestioles, vu que je vis à la campagne et parmi celles-ci, il y a des chasseurs.
Donc, j'ai une position assez neutre, vu qu'ils sont armés et pas moi.
C'est comme ça que ça marche dans la jungle, c'est la loi du plus gros qui bouffe le plus petit. Sinon, après, il faut faire la civilisation et c'est compliqué.
J'aime bien cette anecdote à propos de Gandhi à qui on demandait ce qu'il pensait de la civilisation. Il a répondu qu'il pensait que ce serait une bonne idée.


La photo du jour : Un épouvantail pour éloigner les bijoutiers ( ça à l'air de marcher, il n'y en a aucun autour de chez nous )

mardi 17 septembre 2013

Extraits de carnets


J'ai la manie du collage et de la récupération de petits dessins épars. je fabrique de minuscules carnets avec des chutes de papier. Ce sont des supports qui me permettent de ne pas tout jeter à la corbeille, parce que souvent, ces dessins fait très librement et sans but précis sont intéressants, mais ils traînent partout.


Quand ces dessins ne finissent pas collés dans un carnet, je prends parfois le temps d'en faire une planche de ma "série des vignettes". Certaines sont en vente sur le WENS ART SHOP et ça m'a fait plaisir de constater que des gens s'y intéressaient. En ce moment, je fais un peu de tri sélectif dans mes tiroirs et je pense continuer à mettre des choses en vente, mais, bien qu'on me l'ait souvent demandé, je n'arrive pas me séparer de mes petits carnets.


Propag'Ödland



Je sais bien que c'est toujours la même chose, il n'y a qu'une façon de soutenir la création, c'est les picaillons ! 

"Des boîtes à chansons que l'on nourrit d'oseille ou d'accordéon et puis le patron qui montre ses bouteilles pour des picaillons..." ( Léo Ferré )

J'ai découvert ce site, Ulule et ce principe de financement avec cet appel à participation du groupe Ödland qui produit lui même ses albums dans leur globalité. C'est intéressant comme procédé, actuellement, 164 personnes ont apporté leur soutient :


Le détail du financement est très clairement indiqué sur la page de Galaktoboureko d'Ulule. Le simple fait de pré-commander l'album permet, si suffisamment de personnes le font, de produire le CD. J'aime bien cette idée d'une participation directe des "clients" à la production, ça rend l'achat plus intéressant me semble t-il.
Rien de neuf sous le soleil, le principe existe depuis longtemps, mais ce système, avec Internet et la facilité du paiement en ligne, le rend très efficace,( même si j'ai des copains qui n'ont pas osé aller jusqu'au bout de la procédure et aurais préféré envoyer un chèque !!! )



La photo du jour : Le soutient à Ödland du général de Gaulle ( en porte-clé en caoutchouc, mais quand même...)

jeudi 12 septembre 2013

La bourse ou la vie

Mes rapports avec les Nouilles sont de plus en plus tendus.
Ça doit être une sorte de choc des civilisations, on a ce genre de problèmes, sur Terre. 
Je ne sais pas comment c'est venu, cette histoire de Nouilles Martiennes, mais bon, maintenant c'est là, il faut faire avec. Je crois que ça doit être plus ou moins une métaphore de quelque chose...
C'est comme Mr POPO, j'ai beau me dire que ça suffit, que je ferais mieux d'arrêter, je continu. C'est comme le blog, ça ne sert à rien, mais je fais semblant de ne pas m'en apercevoir.
En réalité, c'est parce que tout est complètement inutile, alors il est difficile de faire le tri entre toutes les choses insignifiantes ( de pigeon ).
N'ayant pas l'intention de laisser quoi que ce soit à la postérité, ni même d'apporter ma pierre à la taupinière, cette activité de dessinateur underground semble voir été créée pour les nouilles dans mon genre.
Sinon, il aurait fallu que je vive dans le monde réel et ça, c'est très fatigant.
Je m'en rends bien compte chaque fois que je dois subir les règles de l'univers, comme se lever tôt pour emmener ma fille à l'école.
J'imagine ce qu'il aurait fallu que je fasse, si en plus, j'avais eu de l'ambition !


La Photo du jour : On trouve quand même de drôles de trucs, dans mon jardin



mardi 10 septembre 2013

Pigeon : vole !


Quelqu'un, qui sait que je suis un fervent admirateur de Franck Ribéry, ( je le considère comme le plus grand poète français de ce siècle ! ), m'a rapporté cette phrase du Maître : " J'espère que la routourne va tourner "

"Le poète est semblable au prince des nuées qui hante la tempête et se rit de l'archer ; Exilé sur le sol au milieu des huées, ses ailes de géant l'empêche de klaxonner."

L'Albator ( de Jean-Pierre Baudelaire )


La photo du jour : Placid et Muzo posant devant mon dessin de Lolmède. 

lundi 9 septembre 2013

Sauvez les bébés phoques !

Voilà un titre d'article qui devrait attirer au moins Brigitte Bardot !
POPÖDLAND

Vous savez que Mr POPO est un fan absolu du sympathique groupe Lyonnais ÖDLAND, faites comme lui et aidez les à produire leur album en donnant plein de sous, ou plus modestement en pré-commandant GALAKTOBOUREKO, leur CD, sur le site ULULE 
C'est facile, il suffit de créer un compte en une minute et si le projet n'atteint pas l'objectif de 6000 €, votre investissement vous sera remboursé.
Plusieurs formule de soutient de 8 € à 500 € et plus, avec en contrepartie l'album et des petits trucs en relief ! 
Il reste 15 jours pour financer ce projet, si vous voulez faire une action en faveur des bébés phoques, c'est le moment !







samedi 7 septembre 2013

à poils et à vapeur


Nous, messieurs les hommes, par rapport aux greluches, si on a un truc en plus, c'est bien le poil au menton.
C'est tout ce qu'il nous reste de notre animalité, en terme d'ornement, parce que pour ce qui est du comportement, pas besoin de poils pour être aussi con qu'un écureuil.
La façon dont le poil est taillé, tu vois tout de suite à qui tu as affaire : barbiche de traître ou barbe de sapeur, ce n'est pas tout à fait la même personnalité qui se cache derrière. 
J'ai remarqué que mes congénères adoptent de plus en plus, comme un seul homme, la barbiche de traître, genre "j'ai du temps à perdre à me tailler les poils autour de la bouche pour avoir l'air d'un méchant dans un film de Jean Marais".
Ça doit s'accompagner d'une lotion apaisante, d'un baume après rasage et d'une crème de jour, j'imagine.
Au début de la prolifération, j'ai trouvé ça curieux, maintenant, je compte les barbes de traîtres et les tatouages ridicules. Quand il y a les deux sur la même bête, j'ajoute 10 points de plus avec un bonus spécial pour les signes maoris-merdiques sur les biceps !
Merci bipèdes d'être si distrayants, j'attends avec impatience la prochaine tocade pileuse de nos gentils bonobos.

jeudi 5 septembre 2013

Retour à l'anormal

Vous savez qu'un blog qui n'est pas alimenté régulièrement en blogueries perd peu à peu tous ses visiteurs et que donc, après deux mois sans News of ze Wens, il ne reste probablement plus ici que A.DAN et Yv' les deux piliers des "commentaires". 
Et encore, si ça se trouve il y en a un des deux qui est parti chez Boulet !
Alors, me direz-vous, pourquoi continuer dans ces conditions à faire comme si il y avait des lecteurs ?
Mais, triple buse, un seul lecteur, c'est la même chose que des milliers !
Le lectorat n'est pas un phénomène de masse, les gens ne se réunissent pas à 10 ou 15 mille pour lire des trucs ensembles.
Vous êtes tout seul, vous savez. 
Je veux dire, à l'intérieur de vous, il n'y a qu'une seule personne, dans la plupart des cas, ( vous faites ce que vous voulez de votre intérieur, ça ne me regarde pas ! )
Donc, un seul lecteur représente symboliquement TOUS les lecteurs de l'UNIVERS, c'est vertigineux !
Heureusement que je m'en fous complètement, parce que ça pourrait me bloquer la créativité de savoir que quelqu'un d'aussi important symboliquement dans l'Univers, vient lire des Mr POPO.
Franchement, c'est bien aimable à toi, Ô lecteur de l'Univers, et ça me fait du bien de savoir que nous ne sommes peut-être pas si seuls...que si ça se trouve, il y a une forme de vie intelligente quelque part sur Internet.



En rangeant ma trousse pour aller à l'école, je suis tombé sur un vieux crayon "RAINBOW" tout usé.
Il a une mine multicolore, c'est comme si on avait une boîte de crayons de couleurs dans un seul crayon, trop chouette !




vendredi 12 juillet 2013

Capt'ain Underground


Deux pages avec un personnage que j'avais utilisé pour une première fois dans le mini comix 2009.
Ces deux créatures sont des petites figurines que j'ai trouvé dans un vide grenier, je ne sais pas d'où elles sortent. 
Le personnage ailé me fait penser à l'espèce d'ange dans Barbarella, mais je ne crois pas que ces jouets soient tirés du film ou de la BD. Si parmi vous quelqu'un sait quelque chose sur ces extraterrestres...

Le prochain numéro de JADE, la revue des ornithorynques cool et branchés, sera sur thème des influences en bandes dessinées, ces pages et quelques Mr POPO précédents tournent autour du sujet, comme vous l'avez remarqué.






lundi 1 juillet 2013

L'aventure industrielle

Oui, il faut trouver de nouveaux supports, comme le papier n'en a plus pour longtemps. 
Des BD gravées sur des plaques d'acier, ça me paraît un bon moyen de faire passer ce divertissement pour les gosses et les attardés mentaux, du fascicule à l'art conceptuel.

Pour ceux qui apprécient le talent de mon copain Lolmède, qui est une œuvre d'art conceptuel à lui tout seul, je vous signale qu'il revient en fanfare à la bande dessinée en publiant de nouveau un EXTRAIT NATUREL DE CARNET, ( ENDC fanzine mythique des années Chirac ), numéro spécial Decazeville, 32 pages couleurs : 5 € + 1,50 € de port, à commander par chèque à : 
Lolmède - 3 rue ste Opportune - 75001 Paris



Ce "spécial Decazeville" est un reportage à la Lolmède, c'est à dire avec un point de vue très "naturaliste des petites choses", sur ce qu'il reste de l'aventure industrielle de la société des Houillères et Fonderies de l'Aveyron. Une visite guidée en dessins qui fourmille de détails que vous ne verriez pas sans Lolmède.