mardi 28 avril 2009

Politique fiction...

Imaginons un virus, par exemple la grippe du poisson rouge, qui serait contracté par un puissant chef d’état. Quelqu’un de sympathique, un noir par exemple.
Oui, parce qu’un président noir, c’est la classe, c’est quand même vachement plus chouette qu’un nain.
Donc, le gars il a chopé une saloperie de grippe du poisson rouge, comme dans les nouvelles de Lovecraft et il incube gentiment, sans être conscient de la précarité des choses et de sa fin prochaine dans d’atroces souffrances respiratoires.
Il commence à s’inquiéter quand il s’aperçoit qu’il perd ses écailles un peu partout dans la maison blanche, mais il est déjà TROP TARD !
En effet, par un énorme coup de pas de bol, il a participé à une grande réunion des chefs d’états des pays les PLUS du monde et il a serré des louches et fait des bisous à tous les copains et copines chefs.
Résultat des courses, la grippe du poisson rouge s’est propagée comme une traînée de poudre, ( comme dans docteur House ), et l’élite mondiale des chefs est alitée.
C’est une allitération.
Je vous passe leurs agonies, Carla Bruni en noir, ( mini jupe de deuil de chez Dior ), oui, j’épargne Carla Bruni dans mon scénario catastrophe car une veuve éplorée, ça fait quand même bien derrière un corbillard. Carlita qui a propagé le virus avec élégance et raffinement est bizarrement en pleine forme, ce qui donne de l’espoir dans la lutte contre la G.P.R (la grippe du poisson rouge).
Elle susurre, elle susurvie donc.
Ségolène présente des excuses pour les poissons rouges.
On a des élections présidentielle anticipées.
C’est Carla Bruni qui est élue.
Elle épouse François Hollande.
Et c’est à ce moment là que je me suis réveillé. Je n’aurais pas du reprendre deux fois de la tourte au poisson hier soir...

lundi 27 avril 2009

Les pandémies, c’est plus ce que c’était...

Si vous rentrez du Mexique avec le nez qui coule et la queue en tire-bouchon, c’est peut-être que vous avez attrapé la pandémie.
C’est pas grave si vous êtes français, car la France est très bien équipée, ( c’est Roselyne Bachelot qui l’a dit ! ). Il reste des tonnes de Tamiflu© et des millions de masques achetés au moment de la grippe aviaire.
Ça n’a strictement aucune utilité pour soigner la grippe porcine, mais ça n’en avait pas non plus pour le rhume du poulet. Peut-être contre le rhume des foins ?
C’est ça, on est prêt pour une pandémie de rhume des foins !
Tout ça n’arriverait pas si les gens restaient chez eux. Au lieu de ça, ils trimbalent à travers le monde leurs foyers infectieux.
L’embêtant, avec le cochon, c’est que c’est une bébête très proche de l’homme, ( contrairement à la lamproie ), il n’y a qu’a regarder Marine Lepen et son papa pour se rendre compte qu’il y a un petit quelque chose de sympathique chez cet animal.
En effet, tout est bon dans le cochon pour peu qu’on prenne la peine de l’ouvrir et de le découper en tranches.
Hélas, comme il est proche de l’Homme, on peut aussi partager des maladies. Quand on est copain comme cochon avec un cochon, il faut bien insister pour qu’il mette sa main devant la bouche quand il éternue et s’il veut vous inviter au défilé “bleu blanc rouge” pour crier “vive Jeanne d’Arc”, il vaut mieux refuser poliment.
Mais, inutile de paniquer, contrairement aux enfants du bon dieu et aux canards sauvages, le porc n’est pas migrateur. Il est donc peu probable que vous trouviez des cochons morts dans votre jardin, ( si ça arrive, n’oubliez pas de bien vous laver les mains ! )

jeudi 9 avril 2009

Le pouvoir de nourriturer...

Il y a ce truc dont on cause tout le temps en ce moment, le fameux POUVOIR des datchas.
Il y a ceux qui l’ont, le POUVOIR d’ACHAT et ceux qui ne l’ont pas.
Alors, comment s’en procurer ?
Ce qui est sûr c’est qu’on ne peux pas en acheter, ce serait trop simple et puis il n’y a que ceux qui ont déjà du pouvoir d’achat qui pourraient acheter du pouvoir d’achat.
Non, le POUVOIRDACHAT, c’est comme le sens du rythme, tu l’as ou tu ne l’as pas, mais c’est inversement réparti avec le sens du rythme qui est pour les noirs et le pouvoir d’achat qui est pour les riches,( parce que dieu, dans sa grande sagesse n’allait pas distribuer à la fois le fric et les grosses bites au même endroit ).
C’est comme ça, c’est la vie, le POUVOIRDACHAT, c’est plutôt pour les riches blancs en bonne santé que pour les pauvres noirs et malades.
Mais heureusement, du bon côté du monde, c’est à dire en Franchouille, tout le monde ou presque en a un petit peu de POUVOIRDACHAT.
Même les pauvres, ils ont un petit bout de POUVOIR avec lequel ils peuvent se gaver de hard discount parce qu’il vaut quand même mieux manger de la mauvaise nourriture que pas de nourriture du tout, paraît-il.
Il y a bien une autre solution, c’est de vomir après les repas de mauvaise nourriture hard discounteuse, mais le risque c’est quand même de ressembler à un top modèle anorexique et personne ne souhaite ça chez les pauvres.
Heu...J’ai dit une connerie ?
Les pauvres, ils veulent tous être footballeurs ou top modèles, en France ?
Mais alors qu’ils ne viennent pas nous casser les couilles avec leur pouvoir d’achat à la con, qu’ils vomissent leur hard discount et garde la ligne, ( pour être footballeur, il n’est pas nécessaire de bien manger, il faut juste prendre des médicaments qui font tomber les cheveux).
Un pays dans lequel les pauvres sont trop gros et les footballeurs chauves est un pays qui va bien, (champion du monde de footballeurs en 1998, quand même !)
Pour le titre de champion du monde de pauvreté, on est moins bien placé, mais on progresse de jours en jours.

Rien à voir, mais j’ai vu la Ferrari de TFI dire après un reportage sur le tremblement Italien : “ Passons en France où l’actualité n’est pas plus gaie...”
Pour causer ensuite de trois trucs brûlés à Strasbourg.
Des centaines de morts d’un côté, quelques saucisses grillées de l’autre, il n’y a pas à dire, elle a le sens de la mesure. Pourtant, Ferrari c’est un peu Italien comme nom, en tout cas, ça ne fait pas Strasbourgeois,( strass-bourgeoise, peut-être...)

vendredi 3 avril 2009

Tout n’est qu’illusion...

Ce fichu monde parallèle dans lequel je me suis réveillé en mai 2007, il commence à devenir vraiment flippant.
C’est pas que dans le monde réel tout n’ait été qu’harmonie et félicité, mais au moins, c’était cohérent, ça tenait debout.
Bon, d’accord, c’était un foutoir sans nom, mais on était habitué, on retrouvait ses petites affaires, on savait qui était qui.
Depuis la catastrophe, les gens sont moches et tristes et parallèles. Les vieux ne rêvent plus, leurs livres s’ensommeillent, leurs pianos sont fermés et je ne vous parle même pas du petit chat qui est mort et du muscat du dimanche qui ne les fait plus chanter.
Les vieux.
C’est les vieux les pires, ce sont eux qui l’ont élu, l’Élu, la Lumière, l’Incal majeur.
Je me demande s’il ne va pas profiter du G 20 pour marcher sur l’eau.
Putain, Philippe K. Dick, comment on en sort de ces univers délirants ?
Là, je suis passé dans un monde parallèle qui n’est pas piqué des hannetons.
(Pour les jeunes : Les hannetons, c’est des petites bestioles avec des ailes qui étaient très sympas à choper pour mettre dans les culottes des filles à l’époque où il y avait des hannetons et où les filles portaient des culottes. Des hannetons, il n’y en a plus et c’était peut-être très con de courir après les filles pour les emmerder avec les hannetons, mais ça faisait des enfants sains, robustes et rapides et ça distrayait les hannetons qui sinon, n’avaient pas une vie passionnante).
Je suis dans un monde parallèle peuplé d'ennemis invisibles. Des particules toxiques, des virus mutants, des ondes néfastes et Philippe Val.
Ah ah ! Voilà que ça le reprend, que vous vous dites.
Ben, avouez que c’est pas de bol de se retrouver dans un monde parallèle de Philippe K. Dick et qu’il y ait encore un Philippe Val !
Non, mais il y a quand même des différences, ici, dans cet univers, il n’est pas rédacteur en chef de Charlie Hebdo, mais directeur de France Inter, nommé par l’Incal majeur himself en personne.
Oui, c’est le risque quand on voyage dans les mondes parallèle, des fois, c’est pire.
Je lui ai dit, à Philippe K, qu’il poussait le bouchon un peu loin et qu’il devrait changer de fournisseur pour ses amphétamines. Déjà, le coup du mariage de la carpe diem et du chaud lapin, c’était pas très crédible, comment un top modèle peut porter du Dior et un olibrius pareil ?
C’est dur de respecter les femmes quand tu vois les guignols qu’elles trimbalent.
Pour Philippe Val, ça me fait de la peine, je sais qu’on y peut rien, que la calvitie est un naufrage, je sais bien qu’il ne le font pas exprès de sombrer, ces loques soixante-huitardes qui nous donnent des leçons de rebellions alors qu’ils sont devenus ce qu’ils ne voulaient pas être. Non, en fait ils voulaient déjà être ça, le dessus du panier de crabes.
Heureusement que c’est dans un univers parallèle que le directeur d’un journal contestataire est un copain du président des nouilles, parce que si c’était dans votre monde réel, ça décrédibiliserait vachement Charlie-Hebdo, le journal de l’Élysée.
http://tinyurl.com/cbkgu8

mercredi 1 avril 2009

NEWS of ze POISSONS

Le premier mai, un brin d’muguet, le premier avril, un poisson, le dix huit juin un appel, le quatorze juillet, une révolution...Vivement l’été.

Poisson 2009 de la WENS corporatéd ©
Imprimez, découpez, collez dans le dos et barrez-vous en ricanant...