Imaginons un virus, par exemple la grippe du poisson rouge, qui serait contracté par un puissant chef d’état. Quelqu’un de sympathique, un noir par exemple.
Oui, parce qu’un président noir, c’est la classe, c’est quand même vachement plus chouette qu’un nain.
Donc, le gars il a chopé une saloperie de grippe du poisson rouge, comme dans les nouvelles de Lovecraft et il incube gentiment, sans être conscient de la précarité des choses et de sa fin prochaine dans d’atroces souffrances respiratoires.
Il commence à s’inquiéter quand il s’aperçoit qu’il perd ses écailles un peu partout dans la maison blanche, mais il est déjà TROP TARD !
En effet, par un énorme coup de pas de bol, il a participé à une grande réunion des chefs d’états des pays les PLUS du monde et il a serré des louches et fait des bisous à tous les copains et copines chefs.
Résultat des courses, la grippe du poisson rouge s’est propagée comme une traînée de poudre, ( comme dans docteur House ), et l’élite mondiale des chefs est alitée.
C’est une allitération.
Je vous passe leurs agonies, Carla Bruni en noir, ( mini jupe de deuil de chez Dior ), oui, j’épargne Carla Bruni dans mon scénario catastrophe car une veuve éplorée, ça fait quand même bien derrière un corbillard. Carlita qui a propagé le virus avec élégance et raffinement est bizarrement en pleine forme, ce qui donne de l’espoir dans la lutte contre la G.P.R (la grippe du poisson rouge).
Elle susurre, elle susurvie donc.
Ségolène présente des excuses pour les poissons rouges.
On a des élections présidentielle anticipées.
C’est Carla Bruni qui est élue.
Elle épouse François Hollande.
Et c’est à ce moment là que je me suis réveillé. Je n’aurais pas du reprendre deux fois de la tourte au poisson hier soir...
1 commentaire:
*clap clap clap* Mais est-ce vraiment de la fiction?!! ;)
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