Sur Bazoche et sur Juva IV on peut l'apercevoir virevoltant dans les champs magnétiques, planant au dessus des naïades aux seins nus qui cueillent, en chantant d'étranges mélopées, le fameux Loukoum-koum en forme de rubis.
S'il arrive parfois qu'il se rapproche du sol, c'est pour admirer les poitrines opulentes des indigènes de Bazoche ou de Juva, pas pour causer avec le touriste.
2 commentaires:
Merci pour ce bel hommage, Wens.Je devrais fréquenter ton blog plus souvent !
Bravo pour cette approche très pédagogique de l'étude des écosystèmes de Bazoche et de Juva IV.
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