Et voilà, c'est terminé. Allons braves gens et grands esprits que ces choses là énervent ou dépassent, avouez que ce n'était pas si pénible. Vous allez pouvoir retourner à vos révolutions, vos préoccupations importantes, vos réflexions profondes.
Le petit peuple s'est diverti, il a oublié ou fait semblant d'oublier, la merde ambiante de laquelle, heureusement, les beaux esprits, les intellectuels donneurs de leçons et les citoyens éclairés vont, n'en doutons pas, grands cœurs comme ils sont, le sortir dés qu'ils auront terminé de vomir.
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