Bon, alors tous les gags sur les masques ont été fait, les chroniques “comment j’ai mangé mes enfants insupportables” aussi. Les tutos pour cuire des cookies, les conseils à la con de livres et de films, les chansons nazes pour les infirmières, les vidéos d’humour pas drôle tournées dans son salon, les billets d’humeurs des donneurs de leçons, les jolis dessins de soutient aux soignants des dessinateurs de BD…
Les dessinateurs de BD aiment beaucoup les infirmières, même en temps normal.
S’ils peuvent en épouser une, c’est le couple parfait.
Elles seules peuvent supporter leur égocentrisme et leurs jérémiades de créateurs incompris.
Quand un jeune qui veut “faire de la BD” me demande un conseil, je lui dis de se trouver une infirmière, (ou un infirmier, à la rigueur un brancardier), pour l’épauler dans cette vallée de larmes.
Tout à été dit, tout à été fait, il ne nous reste plus qu’à attendre la mort sereinement en tapant des mains.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire