C’est vraiment pas marrant, cette histoire de crise mondiale. Pour dire des conneries sur un sujet, il faut quand même en comprendre un minimum de choses et ces trucs de bourses qui montent et qui descendent, ça me file la nausée.
Je préférais quand on avait peur des oiseaux.
Vous vous souvenez, la grippe aviaire, la pandémie qui devait exterminer tous ceux qui avaient survécu à la maladie de Kreutzfeld Jacob, ( autant j’arrive bien à écrire Jacob, autant j’ai du mal avec Kreutzfeld, il pouvait pas s’appeler Delafond comme tout le monde, celui-là ? ! )
Les histoires d’économie mondiale, ça m’a toujours emmerdé, c’est pas maintenant que ça s’effondre que je vais faire un effort pour m’y intéresser.
Ça serait vraiment trop beau que le système s’écroule de lui même, sans qu’on ait même pas besoin de pendre le dernier capitaliste avec les tripes du dernier technocrate.
La grande trouille que de l’argent qui n’existe pas disparaisse, c’est trop compliqué pour moi.
1 commentaire:
Quelle verve ce Monsieur Popo, quelle verve !
Amicalement. Laurent
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