On pourrait
remonter l’histoire de la bande dessinée pour retrouver le premier appendice
disproportionné, ça doit être possible, la BD est un art jeune qui a laissé des
traces.
D’ailleurs, je
crois bien que ça a été abordé par Thierry Grœnsteen dans « Lignes de vie
- le visage dessiné » paru
chez Mosquito en 2003. Il faut que je relise ce livre pour vérifier.
Enfin, bon, sans faire une analyse d ‘exégète érudit, on peut se pencher sur la question du gros nez.
C’est tout de même étrange qu’on puisse raconter des histoires avec des personnages aux visages affublés d’un truc pareil et que ça semble tout à fait normal.
Enfin, bon, sans faire une analyse d ‘exégète érudit, on peut se pencher sur la question du gros nez.
C’est tout de même étrange qu’on puisse raconter des histoires avec des personnages aux visages affublés d’un truc pareil et que ça semble tout à fait normal.
Qui a eu l’idée le
premier et pourquoi, mystère.
Bien sûr, le point
de départ, c’est la caricature qui déforme les traits pour en accentuer les
caractéristiques, mais de là à se retrouver avec des Gaulois ou des cow-boys
aux tarins en forme de courges !
Le principal truc
ennuyeux, c’est pour boire. Par exemple, Mr POPO, il a toujours une tasse de
café à la main, mais on ne le verra jamais boire parce qu’avec son nez, c’est
pas pratique.
Pour embrasser une
fille, ça doit être super gênant aussi et globalement, ça doit pas mal affecter
le champ de vision.
Mais quand
l’histoire est bonne, on est prêt, curieusement, à accepter que le personnage
soit difforme, ou même que ce soit un canard qui ressemble à Donald, mais avec
des yeux d’humain, comme Juanalberto le personnage de José Roosevelt.
Il faut lire « à l’ombre des coquillages » si vous ne l’avez pas encore fait, c’est magnifique !
Il faut lire « à l’ombre des coquillages » si vous ne l’avez pas encore fait, c’est magnifique !
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